Ce jour 2 mai – Planifier les semaines à venir – et toujours le froid qui interfère – les trois semaines de risques à prendre et de défis à relever : ne pas refaire ce que l’on sait déjà – une ligne de conduite naïve – chaque jour comme un premier pas – se lâcher et lancer son poids en bascule – et une deuxième fois – marcher — être mobile dans les déséquilibres —
je vis sur une balançoire et tout bouge – et mon esprit s’éparpille – mille idées comme des papillons piégés qui volètent – depuis peu, très peu, je découvre qu‘il est possible d‘entrouvrir la fenêtre et de laisser circuler un peu d’air frais – alors la balançoire oscille un peu moins fort – les papillons sont moins agités – moins distrayants – mon esprit vagabond se repose avec la phrase de Starhawk : Ressentir nos peurs sans nous y arrêter et une chose change – (À suivre)